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Pages "taguées" Anderlecht sur BX1, télé régionale bruxelloise francophone
Articles
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Anderlecht : le bourgmestre porte plainte contre une vidéo jugée menaçante
30 décembre, par Vanessa Lhuillier
Le bourgmestre d’Anderlecht Fabrice Cumps (PS) a déposé plainte après la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo qu’il juge menaçante dans le contexte du dossier Good Move, rebaptisé “Good Move 2” par ses opposants, relate La Dernière Heure ce mardi.
La séquence reprend un extrait du film Predator (1987), montrant le personnage de Mac Eliot tirant à l’arme lourde. L’extrait est accompagné de commentaires évoquant des “ennemis” et mentionne le compte Facebook du bourgmestre, ainsi que le collectif “Non au plan Good Move”.►Lire aussi : Anderlecht confirme des adaptations à “Good Move 2” et suspend “Good Move 3” à CureghemPour Fabrice Cumps, cette imagerie “ultra-violente”, combinée à des incidents passés impliquant l’auteur, justifie le dépôt d’une plainte. Contacté par La Dernière Heure, l’auteur de la publication affirme qu’il s’agissait d’une démarche satirique et nie toute intention violente, évoquant une “vidéo mal interprétée”.Belga -
Une veillée silencieuse pour dénoncer l’exploitation animale devant les abattoirs d’Anderlecht
24 décembre, par Vanessa Lhuillier
Une vingtaine de personnes ont participé mardi en fin de journée à une veillée silencieuse devant les abattoirs d’Anderlecht, à l’initiative de l’association S.E.A. (Suppression des Expériences sur l’Animal). Le rassemblement s’est tenu dans le calme durant environ deux heures, devant l’entrée principale du site, rue du Ropsy Chaudron, aux pieds des deux statues de taureaux qui trônent à l’entrée, à proximité du Roi du Jambon et de la Maison du Mouton.
Chaque année depuis une vingtaine d’années, l’association organise à l’approche de Noël une veillée devant les abattoirs d’Anderlecht afin de rendre hommage aux animaux tués dans les abattoirs belges. Par une présence silencieuse, les participants entendent dénoncer les souffrances infligées aux animaux et, plus largement, remettre en cause l’exploitation animale dans la société.S.E.A. a également rappelé que l’abattoir d’Anderlecht est, selon l’association, le seul en Belgique où l’abattage rituel sans étourdissement est pratiqué. Les militants interpellent les responsables politiques afin qu’ils imposent l’étourdissement préalable des animaux, quelle que soit la méthode d’abattage.Dans son communiqué, l’association estime que l’exploitation animale est omniprésente, tant à travers la consommation que la production. Elle dénonce les discours visant à refuser des droits fondamentaux aux animaux, en mettant en avant leur supposée absence de rationalité, d’intelligence ou de conscience. S.E.A. souligne que les recherches en philosophie morale contestent ces arguments de “supériorité humaine” pour justifier les préjudices infligés aux animaux.L’association affirme que les animaux sont capables de ressentir des émotions telles que la souffrance, la joie ou le deuil et rappelle qu’ils sont aujourd’hui considérés comme des biens de consommation. À l’approche des fêtes de fin d’année, marquées par une consommation accrue de produits d’origine animale, les participants ont voulu rappeler que derrière chaque animal consommé, “il y a une vie”.Belga -
À Anderlecht, un terrain de foot citoyen pour défendre le marais Biestebroeck
22 décembre, par Emma Druelles
À Anderlecht, les riverains s’engagent pour protéger le marais Biestebroeck.
Le 18 janvier, ils inaugureront le FC Biestebroeck, un terrain de football construit en palettes de bois rue Vanderbruggen. Objectif : sensibiliser le public à la préservation de cet espace naturel non protégé.
Installé sur un parking abandonné, le terrain veut attirer familles et enfants tout en alertant sur les dépôts sauvages et les projets immobiliers menaçant le marais. “Ce sont les habitants qui font la différence “, explique Manu, membre de l’Alliance du marais Biestebroeck à nos confrères de La Capitale.
Une « crade party », (journée de nettoyage) et des activités ouvertes à tous sont prévues le 14 janvier, avant l’inauguration officielle.
Rédaction
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Jupiler Pro League : mené de deux buts, Anderlecht prend finalement un point à l’Antwerp
22 décembre, par Emma Druelles
Le Sporting d’Anderlecht a partagé l’enjeu à l’Antwerp après avoir été mené 2-0 au repos (2-2) dimanche lors de la 19e journée de la Jupiler Pro League. Les Mauve et Blanc sont désormais quatrièmes (35 points) tandis que leur adversaire du jour (24 points) grimpe à la huitième position.
Après un début de rencontre particulièrement énergique, l’Antwerp poussait Anderlecht à la faute pour ouvrir le score. Désireux de dégager le ballon hors de son rectangle, Moussa N’Diaye heurtait le pied de Gyrano Kerk avant de toucher le cuir. L’arbitre sifflait un penalty que Vincent Janssen se faisait un plaisir de convertir (16e, 1-0).
Trois minutes plus tard seulement, les Mauve et Blanc encaissaient un deuxième but des oeuvres de Thibo Somers qui, parfaitement servi par Christopher Scott, doublait la mise de la tête (19e, 2-0).Dans le dur, Anderlecht était proche de se retourner une troisième fois. Kerk, à l’entrée du petit rectangle) manquait toutefois le cadre (23e).
Le Great Old se montrait à nouveau très dangereux via Scott qui, après une belle infiltration, se heurtait à la sortie de Colin Coosemans (37e).
Juste avant le repos, Anderlecht se procurait sa plus belle opportunité avec une frappe enroulée de Bertaccini, détournée par le portier Taishi Brandon Nozawa (43e).Au retour des vestiaires, les visiteurs réduisaient rapidement le score. À la suite d’un accrochage de Mauricio Benitez sur Bertaccini dans le rectangle, Thorgan Hazard convertissait à son tour son penalty (49e, 2-1).
Peu de temps après l’heure de jeu, l’Antwerp trouvait la barre transversale sur un tir de Somers (61e).
Alors que l’on se dirigeait vers une défaite d’Anderlecht, Tristan Degreef plaçait parfaitement sa frappe de loin et, grâce à l’aide du poteau, remettait les deux équipes à égalité à trois minutes de la fin du temps réglementaire (87e, 2-2).Belga -
Le pont Marchand à Anderlecht fermé aux voitures depuis 11 ans : les élus communaux interpellent la ministre
20 décembre, par Maxime Dieu
Les élus d’Anderlecht réclament que la Région introduise rapidement un permis d’urbanisme conforme afin de lancer les travaux du pont Marchand, fermé aux voitures depuis 2014 pour des raisons de stabilité.
Les élus de la commune d’Anderlecht poussent un coup de gueule : ils n’en peuvent plus de la fermeture aux voitures du pont Marchand au-dessus du canal depuis 2014. À cause de problèmes de stabilité, il n’est emprunté que par des piétons et des cyclistes.
“À l’époque, c’était vraiment dangereux de circuler dessus. C’est vrai que, sans doute, il fallait faire un stop“, admet Fadila Laanan, conseillère communale (PS). “Mais laisser ça pendant 11 ans… C’est vraiment honteux. Il ne se passe rien, on laisse dormir ce dossier, on mécontente les habitants et toutes les structures de sécurité qui ne peuvent pas passer d’un quartier à l’autre sans devoir faire un grand détour“, regrette l’élue communale.
► Lire aussi | Anderlecht confirme des adaptations à “Good Move 2” et suspend “Good Move 3” à Cureghem
En 2022, la Région a déposé une demande de permis pour en faire une plateforme cyclo-piétonne. En février 2023, un comité de concertation a réagi en demandant que ce pont soit accessible à tous les transports. “Cet avis de la commission de concertation a été suivi par Urban.brussels qui a demandé que Bruxelles Mobilité introduise un permis d’urbanisme modificatif“, explique le conseiller communal Didier Felis (MR). “Or, ce permis n’a jamais été introduit”, assure-t-il.
Face à cette situation, les élus communaux ont réagi par le vote d’une motion : ils exigent que la Région, et plus particulièrement la ministre de tutelle Elke Van den Brandt, cesse d’attendre et introduise un permis conforme à l’avis de la commission de concertation dans le but que les travaux, pour sécuriser le pont et le rendre accessible à tous les types de transport, démarrent au plus vite.
“On n’est absolument pas contre que ce pont puisse être un espace de rencontre, mais pas uniquement dédié à la circulation cyclo-piétonne“, clarifie Didier Felis.
De son côté, la ministre n’a pas souhaité réagir pour ne pas polémiquer.
■ Reportage de Charlotte Verbruggen, Loïc Bourlard et Djop Medou Mvondo