Le conducteur d’une camionnette Pierre Marcolini a été surpris en train de jeter illégalement des déchets devants la piscine en plein air Flow à Anderlecht, révèle Bruzz. “Totalement inacceptable”, réagit le chocolatier.
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Fusillade à Clemenceau : arrestation d’un homme de 19 ans, suspecté d’être l’un des tireurs
7 mars, par Vincent SchmitzUn homme de 19 ans suspecté d’être l’une des personnes qui ont ouvert le feu le 5 février 2025 à la station de métro Clémenceau a été placé sous mandat d’arrêt, annonce le Parquet de Bruxelles.
Ce 6 mars 2025 à 17h42, les services de polices de la zone de Midi ont interpellé deux personnes chaussée de Forest à Saint Gilles. Pendant l’interpellation, “les policiers ont reconnu formellement un des deux individus signalé dans le cadre de l’enquête concernant la fusillade du 5 février“, communique le Parquet. Selon La Capitale, un “début d’émeute rapidement maîtrisé a eu lieu lors de l’arrestation”.
L’intéressé, un homme de 19 ans, a été mis à disposition d’un juge d’instruction qui l’a auditionné. Il a ensuite été placé sous mandat d’arrêt.
Il s’agit du troisième suspect arrêté dans ce dossier. Les deux premiers suspects, interpellés les 6 et 20 février, ont déjà vu leur détention prolongée par la chambre du conseil de Bruxelles.
Le 5 février, vers 6h00, des coups de feu avaient été tirés devant la station de métro Clemenceau, sans faire de blessé. Les auteurs avaient ensuite pris la fuite via les tunnels du métro, entraînant une recherche d’envergure menée par les unités spéciales de la police fédérale et bloquant la circulation des métros pendant plusieurs heures. Une série d’événements similaires ont émaillé les semaines suivantes, faisant au total deux morts.
► Notre dossier consacré aux fusillades à Bruxelles
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Anderlecht : une famille victime d’une intoxication au monoxyde de carbone
7 mars, par Vanessa LhuillierQuatre membres d’une même famille ont été victimes jeudi soir d’une intoxication au monoxyde de carbone (CO) à Anderlecht, en région bruxelloise. Leur pronostic vital n’est toutefois pas engagé. L’intoxication provenait d’un chauffe-eau à gaz situé dans la salle de bain, non raccordé à une cheminée et alimenté par une bouteille de gaz.
Les services de secours ont été appelés jeudi soir vers 20h40 dans une habitation située chaussée de Mons, à la suite d’un malaise de la fille de la famille, âgée de 19 ans, survenu dans la salle de bain. “Nous avons immédiatement dépêché les secours nécessaires pour une intoxication au CO”, a indiqué le porte-parole des pompiers, Walter Derieuw. “Sur place, la mère, la fille de 19 ans ainsi que deux autres enfants âgés de 16 et 22 ans étaient intoxiqués. Ils ont été transportés vers deux hôpitaux, mais leurs jours ne sont pas en danger. Le père et un quatrième enfant sont indemnes.”
L’origine de l’intoxication provient du chauffe-eau de la salle de bain, a précisé le porte-parole. “Celui-ci n’était pas raccordé au réseau de gaz et fonctionnait avec une bouteille. Il n’était pas relié à la cheminée, ce qui a entraîné l’accumulation des gaz de combustion dans la salle de bain, insuffisamment ventilée.”
Pour prévenir les intoxications au CO, les pompiers recommandent de faire installer et entretenir annuellement les appareils à combustion par un technicien agréé, de vérifier régulièrement l’état des conduits d’évacuation et d’assurer une ventilation suffisante. Ils conseillent également d’installer des détecteurs de CO homologués. En cas de symptômes tels que des nausées, des vomissements, des maux de tête ou une fatigue soudaine, il est impératif d’ouvrir les fenêtres, d’évacuer les lieux et d’appeler le 112.
Belga
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Une technologie spatiale testée pour détecter les malformations cardiaques chez les enfants
5 mars, par Sabine RingelheimLe laboratoire de physique et de physiologie (LPHYS) de l’Université libre de Bruxelles (ULB) teste une technologie initialement destinée à surveiller la santé cardiaque et vasculaire des astronautes pour détecter les malformations cardiaques congénitales chez les enfants. Un essai clinique est en cours à l’Hôpital Erasme et à l’Hôpital universitaire des enfants Reine Fabiola.
Cette technologie découle au départ d’une recherche concernant l’impact de la microgravité sur le cœur des astronautes de la Station spatiale internationale (ISS).
“Dans l’espace, le corps humain se transforme: en quelques semaines, sans contremesures adéquates, le cœur d’un astronaute peut rétrécir comme celui d’un patient alité pendant des mois sur Terre“, expliquent le professeur Vitalie Faora et le docteur Amin Hossein de l’ULB. “Sans gravité pour le stimuler, ce muscle vital s’affaiblit, mettant en péril l’endurance et la capacité d’adaptation des astronautes.”
Dépistage des malformations cardiaques congénitales
L’équipe du LPHYS a donc mis au point une méthode basée sur la sismocardiographie, une technologie qui enregistre les vibrations cardiaques au niveau du thorax. Ces données permettent d’analyser avec précision, les phases, la force et l’énergie des battements du cœur du patient. Dans le cas des astronautes, cela permet un suivi de leur état physique et l’étude des effets de l’apesanteur sur leur système cardiovasculaire.
Mais cette technologie pourrait trouver une nouvelle application dans le dépistage précoce des malformations cardiaques congénitales chez les jeunes patients. Un essai clinique a été lancé pour évaluer cette méthode. “C’est un bel exemple de la manière dont la recherche spatiale peut contribuer à des avancées médicales concrètes sur Terre“, souligne Arnaud Vajda, président du comité de direction de BELSPO. “Cette technologie constitue une méthode non invasive et à moindre coût pour détecter précocement des pathologies cardiaques congénitales et, potentiellement, sauver des vies d’enfants.”
Belga
►Reportage à l’hôpital Erasme d’Arnaud Bruckner, Nicolas Scheenaerts et Stéphanie Mira
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Fusillade à Clemenceau : détention provisoire prolongée pour les deux suspects
5 mars, par Vincent SchmitzLes deux suspects dans l’enquête sur la fusillade du 5 février à la station de métro Clemenceau à Anderlecht resteront en prison pendant encore au moins un mois. Leur détention provisoire a été prolongée par la chambre du conseil de Bruxelle. L’un d’eux a été arrêté le 6 février, le second seulement deux semaines plus tard, le 20 février.
Le 5 février, vers 6h00, une fusillade éclate aux abords de la station de métro Clemenceau, sans faire de blessé. Certains des auteurs prennent ensuite la fuite via les tunnels du métro, entraînant une recherche d’envergure menée par les unités spéciales de la police fédérale et bloquant la circulation des métros pendant plusieurs heures. Le lendemain, jeudi 6 février, plusieurs perquisitions ont eu lieu, au cours desquelles des armes ont été saisies et un premier suspect a été interpellé. Cet homme a été placé sous mandat d’arrêt. Deux semaines plus tard, le 20 février, une deuxième série de perquisitions a eu lieu, au cours de laquelle un autre suspect a été arrêté et placé sous mandat d’arrêt.
► Notre dossier sur les fusillades à Bruxelles
La fusillade du 5 février est le premier acte d’une série d’incidents similaires survenus à Anderlecht ces dernières semaines – ayant déjà fait deux morts. Ces fusillades s’inscrivent dans le cadre d’un conflit territorial entre deux bandes de trafiquants de drogue. Le 6 février, vers 3h35, des coups de feu sont tirés à Clemenceau, blessant une personne. Le lendemain, un quinquagénaire est tué lors d’une fusillade à l’arme de guerre dans le quartier du Peterbos. Le 15 février, un jeune homme de 19 ans perd la vie lors de nouveaux coups de feu près de la station Clemenceau. Le 17 février, vers 22h30, un homme est blessé par balle à la jambe sur la place Saint-Guidon. Dans la nuit du 19 février, des inconnus ouvrent le feu avec une arme de guerre sur la façade d’un immeuble près de Clemenceau. Quelque 23 impacts de balles ont été constatés, sans qu’aucun blessé ne soit à déplorer. Dans la nuit du 22, un magasin de nuit et un snack situés rue de Fiennes, entre les places Bara et Clemenceau, ont été visés par des tirs, au fusil d’assaut. Les auteurs de la fusillade ont pris la fuite en voiture. Personne n’a été blessé.
Avec Belga
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Le conducteur d’une camionnette Pierre Marcolini filmé pendant un dépôt clandestin à Anderlecht
4 mars, par Vincent SchmitzJeudi dernier, le conducteur d’une camionnette du chocolatier Pierre Marcoloni a été filmé par une caméra de surveillance alors qu’il jetait une dizaine de poubelles sur la voie publique à Anderlecht, devant la piscine en plein air Flow (ouverte en hiver). “C’est un manque de respect pour l’espace public. Ce n’est pas un spectacle agréable pour nos visiteurs“, pour Paul Steinbrück de la piscine Flow, qui au-delà de ce cas précis dénonce les dépôts clandestins dans le quartier “au moins une fois par semaine. Nous n’avons plus aucun contrôle sur ce phénomène qui continue à se produire juste devant notre porte.”
Du côté de la société Pierre Marcolini, on souligne qu’il s’agit d’une initiative personnelle, et un “comportement totalement inacceptable“. Une enquête interne a permis d’identifier l’employé et “les mesures disciplinaires nécessaires ont été prises à son encontre.” Bruxelles Propreté a par ailleurs ouvert une enquête.
► Lire aussi | Bruxelles Propreté évacuera les déchets clandestins déposés le long du Ring à Anderlecht
BX1 – Images Bruzz
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